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Terminal de paiement sans contact
21/03/2024 - 3 min de lecture
Rubrique : Développement d'activité
tout un mag pour vous
Le paiement par carte bancaire sans contact est plébiscité par les consommateurs. Le proposer à ses clients lorsqu’on est commerçant, artisan ou profession libérale, est un service très apprécié, mais aussi un moyen efficace de faciliter les encaissements. Si vous n’êtes pas encore équipé, voici ce qu’il faut savoir pour choisir la solution qui convient à vos besoins et votre budget.
Le paiement sans contact est solidement ancré dans les habitudes des consommateurs. Aujourd’hui, plus de 6 paiements par carte sur 10, opérés physiquement via un terminal de paiement électronique (TPE), sont validés grâce à la technologie sans contact, selon la Banque de France.
Ce moyen de paiement rapide et pratique, qui permet de régler ses achats et emplettes quotidiennes jusqu’à hauteur de 50 euros par carte bancaire, gagne régulièrement du terrain. En 2022, il a totalisé 7 milliards d’euros de transactions pour 112 milliards d’euros d’encaissements selon le Groupement des cartes bancaires CB.
C’est cette petite machine que l’on retrouve sur le comptoir des commerçants et qui permet aux clients de régler leurs achats avec leur carte bancaire. On l’appelle plus communément lecteur de cartes bancaires. À l’origine, cet appareil obligeait à insérer sa carte dans un lecteur, puis à saisir son code confidentiel sur le clavier pour valider la transaction.
Grâce à la technologie sans contact, il suffit désormais d’approcher sa carte bancaire du terminal pour valider la transaction, lorsque le TPE est doté de cette appréciable fonctionnalité. Un seul geste suffit pour payer : l’opération est non seulement quasi-instantanée pour le client, mais aussi pour le commerçant, qui peut fluidifier ses encaissements et écourter l’attente des clients en caisse.
Autre point fort : le règlement est totalement sécurisé puisque les paiements sont validés par télétransmission, ce qui garantit l’encaissement de chaque transaction.
Du fait des progrès des technologies communicantes, le paiement sans contact fonctionne aussi avec les smartphones qui embarquent des applications de paiement sans contact, comme Apple Pay ou Paylib par exemple. Compte tenu de la forte progression des paiements effectués par smartphone, cette fonctionnalité a un bel avenir devant elle.
Afin de répondre aux besoins de tous les professionnels, commerçants, artisans, professions libérales, qu’ils travaillent de manière sédentaire ou en mobilité, les banques et les fabricants de terminaux de paiement électronique (TPE) proposent une offre complète qui se décline en plusieurs catégories d’équipements :
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Oui, la technologie du paiement sans contact repose sur une technologie de transfert des données par onde courte, dite NFC (Near Field Communication), qui garantit sa parfaite sécurité.
Les données de la carte ne peuvent être lues qu’à proximité immédiate du terminal, ce qui garantit leur parfaite confidentialité, y compris vis-à-vis de l’entourage proche.
Tous les terminaux de paiement électronique (TPE) ne sont pas pourvus de la fonction sans contact. Ceux qui en sont équipés sont reconnaissables grâce à plusieurs signes distinctifs :
Dans ce cas, le terminal peut être utilisé pour enregistrer des paiements sans contact. Si ce n’est pas le cas, on peut envisager une mise à niveau du terminal pour permettre le paiement sans contact (certains fabricants la proposent), ou bien en changer pour s’équiper d’un TPE compatible.
Les paiements sans contact sont plafonnés à un montant de 50 euros, pour les règlements par cartes bancaires.
Pour sa part, le paiement sans contact par smartphone n’est pas soumis à ce plafond, sauf si la carte ou le compte bancaire du client prévoient une limite de transaction à ne pas dépasser.
Parfois, il peut arriver qu’une tentative de paiement sans contact soit refusée. La raison ? Elle tient au fait que les banques fixent, par mesure de sécurité, un montant maximum d’achats cumulés avec le sans contact pour une période donnée (par jour, semaine ou mois) ainsi qu'un nombre maximum de transactions consécutives.
Lorsque l’une de ces limites est atteinte, le paiement sans contact n’est plus possible. Le client doit alors saisir son code confidentiel sur le clavier du terminal de paiement pour valider l’opération. Cela réinitialise du même coup les plafonds de dépenses et d’opérations sans contact.
Non, à l’instar des paiements par cartes, seuls les terminaux équipés de la fonction paiement « sans contact » acceptent les opérations effectuées à partir d’un mobile (smartphone, tablette).
En pratique, la plupart des terminaux de paiement en activité disposent de cette fonctionnalité. Par contre, les anciennes générations de terminaux n’en sont pas dotées.
Si l’on est équipé d’un matériel ancien, il peut être opportun de changer de terminal pour pouvoir encaisser les clients qui utilisent leur téléphone mobile comme moyen de paiement. Certains sont habitués à payer leurs achats de cette manière et ne disposent pas forcément d’une carte bancaire dans leur portefeuille.
Outre leur prix d’achat ou de location, les terminaux de paiement électroniques génèrent des frais liés à l’utilisation du service de paiement. Celui-ci n’est en effet pas gratuit(1). Il occasionne des coûts de traitement et de gestion qui sont à la charge des opérateurs bancaires.
Ces derniers prélèvent une commission au titre de ces opérations. Le taux de cette commission peut être :
Quelle option privilégier ? Tout dépend de sa situation. Si l’on réalise un nombre limité de transactions, il peut être préférable de souscrire une offre monétique à taux fixe. À l’inverse, si l’on réalise de nombreux encaissements sans contact, on aura probablement intérêt à privilégier une offre à taux dégressif.
À noter que certains contrats monétiques sont proposés sous la forme d’un abonnement, offrant un accès au service de paiement et à une offre couplée de prestations. Avec ce type d’offre, les taux de commission sont généralement moins élevés. Une option à étudier si l’on enregistre un gros volume de transactions.
Dans tous les cas, il est important de prendre en compte la question des frais de traitement des opérations dans le choix son offre monétique. Si, rapportés à chaque opération, ces frais représentent une somme modique, ils peuvent totaliser un montant conséquent une fois cumulés en fin du mois. Ce faisant, il faut aussi intégrer dans sa réflexion le contenu des services et prestations annexes qui sont attachés au contrat.
(1) Pour connaitre les différents tarifs, renseignez-vous auprès de votre conseiller.
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Comme toute transaction bancaire, le paiement sans contact mobilise des intermédiaires financiers qui traitent et valident les opérations de paiement. Cela génère un coût qui est répercuté sur l’utilisateur du terminal de paiement électronique (TPE) sans contact, en l’occurrence le professionnel. De ce fait, il n’existe pas de TPE susceptibles de réaliser des opérations de paiement sans commission.
Plusieurs acteurs commercialisent des terminaux de paiement électronique (TPE) sans contact.
Parmi eux, les banques sont très présentes sur ce marché, avec des offres monétiques complètes, comprenant l’achat ou la location d’un terminal ainsi que la fourniture d’un service de paiement sans contact.
D’autres acteurs proposent des TPE sans contact. On peut s’équiper auprès d’eux, mais il faut alors souscrire en parallèle à un service de paiement auprès de sa banque.
Tout dépend du type d’appareil dont on a besoin. Selon qu’il s’agit d’un terminal fixe, mobile, ou couplé avec un smartphone, le budget d’un terminal de paiement électronique (TPE) sans contact peut fortement varier.
Pour l’achat d’un terminal de comptoir, destiné à un usage fixe, comptez entre 150 et 400 euros selon les fonctionnalités de l’appareil (écran couleur, imprimante…).
Pour un terminal portable, il faudra prévoir un budget supérieur du fait des propriétés communicantes de l’appareil : entre 300 et 550 euros selon le modèle.
Les terminaux de paiement reliés à un téléphone mobile sont sensiblement moins chers, puisqu’ils opèrent par l’intermédiaire d’un smartphone, ce qui réduit d’autant leur coût (et leur encombrement).
Pour ce type d’appareil, les prix à l’achat démarrent à partir de quelques dizaines d’euros.
Enfin, si vous disposez d’un smartphone équipé d’une puce NFC (Near Field Communication), plus besoin de lecteur externe pour le coup. L'application permettant de le transformer en terminal de paiement d’appoint ne vous coûtera que quelques euros.
On peut louer un terminal de paiement électronique (TPE) sans contac pour permettre de minimiser l’investissement initial.
En cas de panne, elle offre la possibilité de bénéficier d’un matériel de remplacement. Enfin, le contrat de location peut inclure l’installation, le paramétrage et la maintenance de l’appareil, ce qui peut s’avérer bien pratique.
De nombreux professionnels optent pour cette solution, qui est généralement commercialisée sous forme d’un package clé en main comprenant la location de l’appareil et un abonnement au service de paiement. Le coût varie selon la nature des prestations fournies. En principe, plus la durée du contrat de location est longue, meilleures sont les conditions tarifaires.
© Uni-médias – Dernière mise à jour Mars 2024
Article à caractère informatif et publicitaire.
Certains produits et services mentionnés dans cet article peuvent être commercialisés par le Crédit Agricole : renseignez-vous sur leur disponibilité dans votre Caisse régionale.
La souscription à ces produits et services peut être soumise à conditions ou à la réglementation en vigueur, ainsi qu’à l’étude et à l’acceptation de votre dossier par votre Caisse régionale. Accédez au détail de ces produits et services en cliquant sur les liens hypertexte prévus à cet effet dans la présente page Internet.
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